1. |
Son île
05:02
|
|||
On prend souvent la mer
Cœur naufragé fragile
Et soudain l'horizon
Et retrouver son île
On prend souvent la mer
Cœur naufragé fragile
Et soudain l'horizon
Et retrouver son île
Elle prit sa peine et son manteau
Elle prit la porte sans dire un mot
Sans se retourner...
Elle prit lentement l'escalier
Lança dans le vent toutes ses clés
Sans se retourner...
On prend souvent la mer
Cœur naufragé fragile
Et chavire la raison
La vie jamais facile
On prend souvent la mer
Cœur naufragé fragile
Et soudain l'horizon
Et retrouver son île
Elle prit une grande respiration
Et la plus grande des décisions
Pour se retrouver...
Elle prit un taxi dans la nuit
Un avion pour un autre pays
Pour se retrouver...
On prend souvent la mer
Cœur naufragé fragile
Et chavire la raison
La vie jamais facile
On prend souvent la mer
Cœur naufragé fragile
Et soudain l'horizon
Et retrouver son île
Elle prit l'adresse dans son carnet
À part la lune, personne ne savait
Elle prit d'une seule main son courage
Tourna la poignée comme on tourne la page
La porte ouverte
Les bras ouverts
Les yeux dans l'eau
L'eau de la mer
Elle prit son cœur et son manteau
Les déposa sans dire un mot
sans dire un mot
On prend souvent la mer
Cœur naufragé fragile
Et soudain l'horizon
Et retrouver son île
On prend souvent la mer
Cœur naufragé fragile
Et soudain l'horizon
Et retrouver son île
Sur son île
son île
|
||||
2. |
C'est toi qui m'écris
03:15
|
|||
Tu écris par temps gris
Sur tous les nuages
Pour moi seule qui ai compris
Ton unique langage
Depuis toi qui m’écris
Quand tout l’azur disparait
Toi qui me connais, toi mon âme sœur
Il y a tes mots gravés
Sur le ciel en mouvement
Chaque fois ça crée en moi
Des éclaircies, des accalmies
Quand je vois des pieds-de-vent
C’est toi qui m’écris
Les levers, les couchants
C’est toi qui me dis
Qu’on est toujours ensemble
Dans notre petit espace
Comme des colocataires
Liées par la lumière
Il y a tes mots gravés
Sur le ciel en mouvement
Chaque fois ça crée en moi
Des éclaircies, des accalmies
|
||||
3. |
||||
Il fait sûrement beau quelque part
Parmi les galaxies confuses
Pas sur la lune évidemment
Blafarde et froide
Docile miroir des tourments effacés
Il fait sûrement beau quelque part
Parmi les galaxies confuses
Pas au dur soleil en l'éther foudroyé
Consumant son impitoyable feu
À grandes chiques meurtrières
Pas sur la terre, ses modes et ses lois iniques
Et ses visages massacrés
Pas sur ma main ouverte
Où passe le souffle léger de ce monde
Qu'emporte le vent levé
Aussitôt repris par le vent du nord
Mais où le beau temps
étale et roi qui règne
et se montre face découverte
à qui peut la voir?
et se montre face découverte
à qui peut la voir?
Il fait sûrement beau quelque part
Parmi les galaxies
|
||||
4. |
||||
Ton nom un rivage
Et plus belle que jamais
Là-bas la mer
Je resterai tout près
Je resterai tout près
Le bruit de l’eau
Me mènera jusqu’à toi
Jusqu’à toi
Et nous aurons des silences
Et nous aurons des silences
Qui diront
Le point du jour où tout bascule
Dans l’infini de nos étreintes
Je resterai je resterai tout près
Dans l’infini comme une étreinte
Le point du jour où tout bascule
Je resterai je resterai tout près
Ton nom un rivage
Tout près
Tout près
|
||||
5. |
Le projecteur
04:09
|
|||
Il y a le temps qui passe
Il y a ta voix, il y a ton sourire
Que je me remémore, comme ça
Soudain / Sans avertir
J’te vois je crois / je crois qu’je te vois
Il y a toute la peine
Qui reste
J’essaie d’en faire une danse
Que je pourrais offrir / comme ça
Une jolie révérence
Je reste là, au plus près de toi
Et tu voles, au-dessus de nous
Ton envol, il est libre et doux
Après tout / là tout près du ciel
Et tu voles, au-dessus de tout
Tu es l’oiseau, vois comme c’est beau
C’est ton cœur, dans le projecteur
Il y a ton absence
Qui pèse lourd, ça dépend des jours
Mais toujours ton regard posé sur moi
C’est une chance
Une histoire d’amour et tous les beaux jours
Et tu voles, au-dessus de nous
Ton envol, il est libre et doux
Après tout / là tout près du ciel
Et tu voles, au-dessus de tout
Tu es l’oiseau, vois comme c’est beau
C’est ton cœur, dans le projecteur
C’est ton cœur, dans le projecteur
|
||||
6. |
Ton visage
03:52
|
|||
Des yeux bruns pour le jour, des yeux verts pour l'amour
Ton visage
Tes yeux que j'aimerai pour deux éternités
Ton visage
Une bouche à jamais douce comme un secret
Ton visage
Il est beau, il est chaud, il est ma fleur de peau
Ton visage
En me fermant les yeux, je le devine au creux
Des nuages
J'ai trop fermé les yeux, j'aurais dû faire un nœud
Aux nuages
Le vent s'est retourné et la vie m'a soufflé
Ton visage
Et je me suis saoulée pour tâcher d'oublier
Ton visage
Mais il reste collé dressé sur mon passé
Qui s'ennuie mon passé
Et je le redessine, et le vent le ressouffle
Ton visage
Je suis capitaine d'un bateau de peine
Qui ne coulera jamais
J'ai 2 fois la peine de 100 capitaines
Qui ne s'embarqueront plus
Et je me suis saoulée pour tâcher d'oublier
Ton visage
Et je me saoule encore à jeun et à tribord
Quel voyage
Hier c'était demain, demain sera toujours
Ton visage
Qui s'entête à coller, comme un drapeau mouillé
En retraite
Des yeux bruns pour le jour, les yeux verts pour l'amour
Ton visage
|
Streaming and Download help
If you like Sylvie Paquette, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp